Vous êtes un/une mascobadien(ne) ? Moi aussi, ça tombe bien.
Définition : Le mascobadien est un être civilisé, féru d’un sucre de canne complet au léger goût de caramel, dit « mascobado »...
Le mascobadien se distingue grâce à quelques traits spécifiques :
- il cuisine sûrement très bien. Le mascobado est un ingrédient parfait pour ceux qui ont l’âme pâtissière et les doigts plein de pâte ;
- il arrive à la boutique Artisans du Monde et se tourne immédiatement vers le rayon alimentaire (immédiatement sur la droite en entrant) ;
- en cas de succès, le mascobadien se saisit d’un ou plusieurs paquets (tout dépend des quantités disponibles sur l’étagère et du trajet à effectuer ensuite. Surtout si l’on est à pied…) et se dirige droit vers la caisse (en face, au fond du magasin). Opération réussie, il ne reste plus qu’à faire sauter les crêpes, mélanger le fondant, pétrir la pâte ou préparer le far (ou ouvrir son pot de yaourt pour les plus flemmards) ;
- en cas d’insuccès, le mascobadien commence à paniquer (ne dites pas le contraire, ça se voit rien qu’à votre tête), étend sa recherche aux autres produits alimentaires (« le rayon a peut-être été réorganisé ? »), fonce en trombe vers la caisse (toujours en face, au fond du magasin) et pose la question fatidique : « vous n’avez plus de mascobado ? », suivie d’une autre question fatidique : « vous n’en avez pas non plus en stock ? », suivie d’encore une autre : « vous en aurez quand ? ». Parallèlement, le mascobadien réfléchit comment il va être possible de survivre sans les pommes au four caramélisées que toute la famille avait adorées dimanche dernier…
Et côté solidarité :
Le Panay Fair Trade Centre (PFTC) a été créé en 1991 par une organisation de femmes aux Philippines. Après avoir démarré par la production de chips banane (extras ! je vous les conseille !), le PFTC s’est intéressé à la production du sucre mascobado et travaille dorénavant avec plus de 200 producteurs.
Une fois que vous l’aurez testé, vous ne vous en passerez plus, foi de pâtissière-versaillaise-mascobadienne !
Le mascobadien se distingue grâce à quelques traits spécifiques :
- il cuisine sûrement très bien. Le mascobado est un ingrédient parfait pour ceux qui ont l’âme pâtissière et les doigts plein de pâte ;
- il arrive à la boutique Artisans du Monde et se tourne immédiatement vers le rayon alimentaire (immédiatement sur la droite en entrant) ;
- en cas de succès, le mascobadien se saisit d’un ou plusieurs paquets (tout dépend des quantités disponibles sur l’étagère et du trajet à effectuer ensuite. Surtout si l’on est à pied…) et se dirige droit vers la caisse (en face, au fond du magasin). Opération réussie, il ne reste plus qu’à faire sauter les crêpes, mélanger le fondant, pétrir la pâte ou préparer le far (ou ouvrir son pot de yaourt pour les plus flemmards) ;
- en cas d’insuccès, le mascobadien commence à paniquer (ne dites pas le contraire, ça se voit rien qu’à votre tête), étend sa recherche aux autres produits alimentaires (« le rayon a peut-être été réorganisé ? »), fonce en trombe vers la caisse (toujours en face, au fond du magasin) et pose la question fatidique : « vous n’avez plus de mascobado ? », suivie d’une autre question fatidique : « vous n’en avez pas non plus en stock ? », suivie d’encore une autre : « vous en aurez quand ? ». Parallèlement, le mascobadien réfléchit comment il va être possible de survivre sans les pommes au four caramélisées que toute la famille avait adorées dimanche dernier…
Et côté solidarité :
Le Panay Fair Trade Centre (PFTC) a été créé en 1991 par une organisation de femmes aux Philippines. Après avoir démarré par la production de chips banane (extras ! je vous les conseille !), le PFTC s’est intéressé à la production du sucre mascobado et travaille dorénavant avec plus de 200 producteurs.
Une fois que vous l’aurez testé, vous ne vous en passerez plus, foi de pâtissière-versaillaise-mascobadienne !